Faites-la marcher au poids et à l’oeil
Test croisé de l’Aria 2, la balance connectée de Fitbit.
Après avoir orné votre poignet de son bracelet compteur de pas, Fitbit s’attaque à votre silhouette et, donc, à vos kilos superflus avec son Aria 2. Dès le déballage, on admire son look. Le temps de quelques manips – télécharger l’appli sur le smartphone, créer un compte (gratuit), appairer les appareils en Bluetooth –, la balance se connecte au Wifi de la maison et synchronise les données avec votre compte. Les mesures s’affichent très lisiblement sur un grand écran LCD cerclé de métal, qui s’allume dès que l’on grimpe sur le plateau. Familiale, l’Aria 2 reconnaît automatiquement jusqu’à huit utilisateurs. Elle indique le poids, les différents taux de masse : grasse, maigre (os, muscle, organes, peau, liquides), et corporelle (IMC). Ces deux derniers indices devant être activés dans l’appli.
Pour cela, elle utilise l’impédance bioélectrique, un très faible courant imperceptible et indolore, qui traverse le corps pour déterminer les éléments le composant. Mais son analyse nous semble moins détaillée que celles de ses concurrents les plus sérieux (Beurer, Terraillon, Nokia) qui, eux, précisent le pourcentage de masses musculaire, osseuse et hydrique, tout en étant moins chers. Ce modèle devrait surtout séduire les habitués des autres produits de la marque. ■
LES FORCES
O Plateau en verre trempé noir ou blanc O Simplicité d’utilisation O Écran très lisible LES FAIBLESSES O Manque de mesures O Prix élevé