C’EST BEAUCOUP PLUS DE TRAVAIL QU’ON NE L’IMAGINE
Pour devenir ambassadeur, il faut déjà répondre à un certain nombre de critères de sélection. Par exemple, si j’ai pu essayer le casque de réalité virtuelle HTC Vive, c’est, entre autres, parce que je disposais d’un ordinateur puissant et d’une pièce suffisamment spacieuse chez moi. Avec les autres internautes qui participaient à ce programme, nous avons d’abord été invités dans les locaux de Demooz pour assister à une démonstration de l’appareil. Je l’ai ensuite fait découvrir à 150 individus autour de moi : à des proches, à des étudiants de mon université, mais également à d’autres membres de Demooz. En plus, j’ai dû aussi poster ma critique sur Facebook et sur d’autres sites, en argumentant mes points positifs et négatifs. C’est du travail, mais une fois mes objectifs atteints, j’ai pu conserver le casque. Sinon, j’aurais dû en payer une partie. Tout ambassadeur de produit est ainsi lié par des engagements.
Thomas Brunet, enseignant en sciences de la vie et de la terre, postule afin d’être ambassadeur pour Demooz, une plateforme collaborative de test de produits. À 23 ans, il est davantage animé par sa passion pour les nouvelles technologies que par l’appât du gain.