Huawei au rebut
L’entreprise chinoise est malmenée par les États-Unis qui l’accusent d’espionnage et somment l’Europe d’interdire leurs équipements pour le déploiement de la 5G. Boris Johnson veut suivre les préconisations américaines en réduisant à zéro le rôle de Huawei dans les installations des réseaux d’ici à trois ans. Le Premier ministre britannique a manifestement changé d’avis puisqu’en janvier il avait été décidé de ne le bannir que des zones stratégiques (bases militaires, centrales nucléaires). Les opérateurs télécoms anglais vont donc devoir renouveler toutes leurs infrastructures.