Entre zombies et aventures, Denis Brogniart donne les règles du nouveau jeu de TF1
Télévision L’animateur Denis Brogniart, à la tête du nouveau jeu «District Z» ce vendredi, compare son rôle avec celui qu’il tient dans «Koh-Lanta»
Après des semaines passées sur une île paradisiaque pour «Koh-Lanta», changement d’ambiance pour Denis Brogniart. Dès ce vendredi, l’animateur sera aux commandes de « District Z », le nouveau jeu d’aventures de TF1. Il se retrouve parachuté dans une zone interdite, peuplée de zombies et autres créatures extraordinaires.
Après quinze semaines de « KohLanta », vous ne quittez pas la case du vendredi soir. Quel va être votre rôle dans cette émission ?
Je serai l’animateur, le garant des règles et le trait d’union entre le professeur Z et les cinq personnalités à qui il ouvre les portes de son district pour leur permettre de disputer des épreuves. Je suis aussi le complice des personnalités, parce que mon souhait, c’est qu’elles remportent un maximum d’argent pour l’association qu’elles défendent. J’ai un rôle de proximité un peu plus fort que sur « Koh-Lanta ». On s’est beaucoup amusés à constater que ces personnalités étaient capables de transcender leurs peurs. Comme dit Arthur, on ne m’avait jamais vu dans ce rôle.
Est-ce Arthur qui est venu vous voir pour incarner le programme ?
C’est Arthur et TF1. J’étais surtout très heureux et flatté qu’on puisse penser à moi pour une superproduction française. J’insiste là-dessus : beaucoup d’émissions sont tirées de programmes étrangers. Là c’est totalement l’inverse, c’est un programme français qu’Arthur vendra peut-être à l’étranger.
En quoi l’émission se distingue-telle de « Fort Boyard », où l’on voit aussi des célébrités se dépasser dans des épreuves ? Les épreuves n’ont absolument rien à voir, on est dans du très grand spectacle. Evidemment, il y a des célébrités, mais l’univers avec les zombies et les créatures étranges, l’atmosphère et les décors hallucinants donnent un aspect grandiose.
Avez-vous l’impression d’avoir passé un cap dans la reconnaissance du public, qui vous suit comme jamais sur les réseaux sociaux ?
J’ai toujours eu l’impression d’avoir une proximité avec les téléspectateurs. Je pense qu’on me reconnaît une forme d’authenticité. On entre dans les foyers de millions de gens grâce à la télévision, ce n’est pas négligeable, et ça a un véritable impact. Globalement, les gens sont sympas avec moi, que ce soit à Papeete ou chez mon boulanger.
Vous rentrez de Polynésie française, où vous avez tourné la prochaine saison de « Koh-Lanta ». Comment cela s’est-il passé ?
C’était un tournage compliqué, dans la mesure où il fallait absolument que l’on évite le Covid. On est les seuls au monde à avoir tourné «Koh-Lanta» cette année. Les Américains ont préféré s’abstenir et différer leur tournage. On a en boîte une très belle saison.