L’accompagnement indispensable des adultes
«Si le message n’est pas reçu par les enfants, va-t-il être reçu par les parents?, se demande Marie-Claude Bossière. Il faudrait, en petites séquences, à la fin du film, montrer ce qui est problématique et pourquoi.» Marie-France Malonga relève aussi que «cela suppose un accompagnement. On pourrait imaginer quelque chose de plus ludique pour les jeunes publics.» Le dialogue et l’explication avec et par des adultes restent donc centraux.