Environnement De vrais joyaux, ces Pépites Vertes
L’association, qui aide les étudiants à trouver un job engagé en faveur de l’environnement, a lancé son réseau professionnel
Le lieu n’a pas été choisi au hasard. C’est à la Cité fertile, un tiers-lieu consacré aux enjeux de la ville durable niché le long des voies ferrées à Pantin (Seine-Saint-Denis), que l’équipe des Pépites Vertes* a officiellement lancé, vendredi, son nouveau projet pour aider les jeunes à s’engager dans les métiers de la transition écologique.
Lancé il y a moins d’un an par Claire Pétreault, ex-responsable de la communication de la plateforme ChangeNOW, le site des Pépites Vertes passe aujourd’hui à la vitesse supérieure : en plus de son annuaire, de ses vidéos et de ses podcasts, qui répertorient plus de « 60 profils et 200 témoignages » de jeunes actifs engagés, le nouveau média devient officiellement une association.
Les Pépites Vertes crée également son « Club des pépites », un réseau professionnel national pour aider les jeunes actifs de la transition écologique à se former, gagner en visibilité médiatique et se rencontrer. Ouverte à l’inscription depuis lundi, moyennant une adhésion annuelle de 90 €, la première promotion 2021-2022 du club bénéficiera ainsi notamment d’une formation à la prise de parole en public. Pour soutenir cette initiative, 20 Minutes s’est associé en juin au « grand appel aux pépites vertes de France », lancé par l’association. Chaque mercredi de septembre, vous pourrez ainsi découvrir en vidéo, sur le site et les réseaux sociaux de 20 Minutes, le parcours et les conseils de l’une des quatre nouvelles « pépites » rencontrées pendant l’été par Claire Pétreault. Et consulter la vidéo intégrale de leur rencontre sur le site de l’association.
Cette semaine, on vous emmène à la découverte de Solène, jeune « pépite » de 24 ans, chargée de mission à l’Office français de la biodiversité d’Aixen-Provence (Bouches-du-Rhône), qui racontera comment elle a trouvé « son âme soeur de job » à la sortie de l’université, alors que « son plan à 18 ans n’était pas de sauver la planète », mais plutôt de faire des études qui lui plaisaient en géographie ou en économie. « Le sens du métier est venu progressivement et, maintenant, je retire une très grande satisfaction de pouvoir travailler pour tous, pour la société », explique la jeune femme.
« Je retire une très grande satisfaction de pouvoir travailler pour la société. »
Solène