Le monde en voiture électrique
Face au réchauffement climatique, Wiebe Wakker croit à la voiture électrique comme solution automobile d’avenir. Afin de promouvoir ce mode de transport, ce Néerlandais a effectué 95 000 km à travers le monde. Son voyage s’est terminé dimanche à Sydney. Pendant plus de trois ans, Wiebe Wakker a conduit son « Blue Bandit », un break qu’il a fait modifier en véhicule électrique, à travers 33 pays, parmi lesquels la Turquie, l’Iran, l’Inde, la Birmanie, la Malaisie et l’Indonésie. Son parcours a été déterminé par les propositions qu’il recevait sur son site, le trajet étant financé par des dons. « Je veux modifier l’opinion des gens, les inspirer pour qu’ils adoptent la conduite électrique, en démontrant les avantages de la mobilité durable », a-t-il expliqué. Wiebe Wakker a déclaré que cet itinéraire ne lui avait coûté que 300 $, soit 267 €, en électricité, alors qu’il aurait nécessité, d’après ses propres estimations, 6 785 litres d’essence.
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Une maison de couture redore l’image des Roms
Depuis 2010, la maison de couture hongroise Romani Design combat les discriminations affectant les Roms à travers ses créations. La fondatrice, Erika Varga, utilise la mode afin de donner une image positive de la culture rom et de contrer la représentation péjorative de sa communauté dans les médias. Et cela marche ! Sa petite entreprise budapestoise, qui participe à trois salons internationaux par an, rencontre un succès croissant, notamment en Inde et dans les pays arabes. Les produits, souvent fleuris et aux couleurs vives, se vendent jusqu’à 1 000 € pièce.
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La bière aux oeufs fait fureur au Vietnam
Le café Giang, à Hanoï, a une particularité : il sert la bière glacée et surmontée d’une crème mêlant jaune d’oeuf, sucre et beurre. Nguyen Chi Hoa, le propriétaire, s’est inspiré d’une tradition vietnamienne, mêlant café et crème à l’oeuf, sauf qu’il a remplacé le café par la bière. Depuis, le cafetier a étendu sa gamme, proposant chocolat chaud, rhum ou thé matcha surmonté de la fameuse crème aux oeufs.
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A 13 ans, il achète une voiture à sa mère
William, un Américain âgé de 13 ans, a choisi d’échanger sa Xbox contre une Chevrolet Metro blanche de 1999 pour aider sa mère, Krystal, qui élève seule ses trois enfants dans le Nevada. La voiture était en vente à un prix abordable sur une petite annonce de Facebook. L’aîné de la famille a réussi à convaincre l’ancienne propriétaire de la lui céder contre sa console de jeux ainsi que des petits travaux.
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Touche pas à mes murs incas
Au Pérou, l’entreprise de construction R&G SAC a écopé, vendredi, d’une amende de 2 millions d’euros. Elle avait détruit, entre 2012 et 2014, quatre murs incas d’environ 500 ans, afin d’ériger un hôtel Sheraton dans la Zone monumentale de Cuzco, déclarée Patrimoine culturel de l’humanité par l’Unesco en 1983.
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Le prince William sur les traces de James Bond
Durant trois semaines, le prince William a rejoint les services secrets de Sa Majesté. Il a d’abord intégré le service de renseignement extérieur, le MI6, puis le service de renseignement intérieur, le MI5, et enfin, le service de renseignement électronique, le GCHQ. Une expérience qui a été, selon lui, « une véritable leçon d’humilité ».
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Premier « Dîner en blanc » à Cuba
Organisé dans 90 villes, le « Dîner en blanc », un pique-nique géant bon chic bon genre d’inspiration française, a eu lieu, samedi soir, pour la première fois à Cuba. Faisant fi des tensions diplomatiques entre La Havane et Washington, l’événement a réuni près de 500 personnes, dont 400 Américains et 70 Cubains.
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La carbonara à chacun sa sauce
A l’occasion du deuxième « Carbonara Day », les gastronomes du monde entier ont livré, samedi, leur version du plat italien, dont la recette est l’une des plus discutées. Lancé par l’Unione Italia Food, cet événement mondial est aussi virtuel. Chacun a donc pu apporter sa contribution sur les réseaux sociaux via le hashtag #CarbonaraDay.
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Nos internautes ont du talent 1 0 Y a-t-il un sens à comparer les prix en 1980 et en 2018 ?
Pain, lait, essence, voiture... Sur Facebook, un visuel très partagé compare le prix de produits du quotidien depuis près de quarante ans, montrant une augmentation massive pour certains et moyenne pour d’autres. Ainsi, selon ce comparatif qui a converti les francs de l’époque en euros, une baguette coûtait en moyenne 0,25 € à l’époque contre 0,87 € en 2018. A l’origine, ce graphique a été réalisé par le journal La Dépêche du Midi en février 2018 pour illustrer un article sur l’inflation. Mais il a vite été repris hors contexte sur les réseaux sociaux, sans les précisions méthodologiques indiquées dans l’article. D’après Marie Leclair, responsable de la division des prix à la consommation de l’Insee, « s’il s’agit de mesurer l’évolution du pouvoir d’achat, […] il faut regarder l’évolution des revenus des ménages et bien sûr considérer l’évolution de l’ensemble des prix des produits consommés par les ménages ». Utiliser le convertisseur de l’Insee sur le pouvoir d’achat de l’euro et du franc offre de fait une perspective bien différente de cette évolution. Ainsi, le prix de la baguette en 1980, qui était de 1,67 F à l’unité, n’est plus, une fois converti, 0,25 € mais 0,72 €, ce qui le rapproche du prix moyen de 2018 (0,87 €). Alexis Orsini 20 Minutes lutte contre les fake news. Un doute ? Ecrivez à fakeoff@20minutes.fr