«Nous ne sommes pas encore redescendus de notre nuage»
Maraîcher de l’est lyonnais, Jérôme dresse le bilan de son passage à «L’amour est dans le pré»
« La vie est belle », lâche-t-il dans un grand éclat de rire. A l’heure du bilan, Jérôme, agriculteur à Jons, dans l’est lyonnais, ne fait pas de mystère. Oui, son histoire d’amour avec Lucile, rencontrée lors de la 15e saison de l’émission télé « L’amour est dans le pré », est toujours d’actualité.
Une connexion immédiate
M6 dressera ce lundi soir et le suivant le bilan de cette édition, six mois après la fin du tournage. « Nous ne sommes toujours pas descendus de notre petit nuage », poursuit Jérôme. Au mois de juillet, Lucile a quitté le sud de la France pour venir le rejoindre à la ferme, où elle se sent « comme un poisson dans l’eau ». « Je ne pensais pas que c’était possible d’être aussi en phase et en harmonie avec quelqu’un. C’est encore mieux que ce que j’espérais, confesse la jolie prétendante. En réalité, je n’ai jamais connu une telle osmose dans mes relations précédentes.» Jérôme, 38 ans, abonde : « Dans un couple, on a l’habitude de dire qu’il faut faire des concessions ou des efforts pour que cela fonctionne. Mais, je n’ai même pas à en faire, car il n’y a pas besoin ». Le maraîcher, qui avait envoyé sa lettre au mois de novembre 2018 pour participer à l’émission, a eu le « temps de se préparer ». Il ne pensait toutefois pas être touché si facilement par les flèches de Cupidon. « Il est vraiment troublant que les choses aient matché aussi bien entre nous. Et tout de suite, développe-t-il. Nos proches ont l’impression que nous sommes ensemble depuis vingt ans. » «Normalement, les relations se construisent dans le temps. Mais pour nous, c’était une évidence dès le départ », développe Jérôme, qui assume son « côté émotif ». « Je comprends que certains peuvent penser que ça va trop vite. Mais, il n’y a que lorsque l’on vit une expérience comme celle-ci, que l’on peut comprendre. Tout est décuplé », appuie Lucile. Et d’enchaîner : « La majorité des gens se réjouissent pour nous et se montrent très respectueux. »