Maud,
Contrainte au chômage technique dès ce lundi avec la fermeture de tous les établissements scolaires, elle explique : «Pour éviter l’épuisement des collègues des hôpitaux, il me semble normal d’aller épauler les équipes. Il faut que nous soyons solidaires si on veut éviter la catastrophe.» D’autres se disent prêts à augmenter leur charge de travail. « Mon travail est concentré sur le bloc opératoire, mais je peux aussi exercer en réanimation, avance Yvonnick, infirmier anesthésiste dans une structure privée. Je me sens prêt à accomplir cette tâche pour aider un maximum de personnes. Il faut soulager les services de réanimation des centres hospitaliers publics. »
« Il faut que nous soyons solidaires si on veut éviter la catastrophe. »