Les cinq tattoos du moment
Le gentil dauphin sur la nuque ou le tribal sur le biceps ont fait leur temps... A l’occasion du 6e Salon du tatouage de vendredi à dimanche au Parc Expo, 20 Minutes défriche les nouvelles tendances.
Graver le prénom de ses enfants ou de son conjoint sur sa peau, c’est toujours l’une des demandes les plus fréquentes. « On essaie de proposer aux clients de partir, plutôt, sur un tatouage plus figuratif, comme un dessin qui leur rappelle cette personne, car c’est la base du métier ! », assure Thomas, tatoueur, organisateur du salon. La citation (« Carpe diem » en premier lieu) a également la cote.
Le prénom.
« C’est un type de tatouage qui est bien revenu à la mode, note David, qui gère la communication du salon. Il s’inspire des estampes traditionnelles japonaises. » Pivoines, dragons, carpes koï ou geishas figurent parmi les motifs appréciés.
Le tattoo japonais.
Ce type de tattoo a un peu éclipsé le tribal, véritable star des années 1990. Ces motifs, inspirés de la culture néo-zélandaise, sont plus détaillés, plus arrondis, moins agressifs que leurs ancêtres. « C’est un type de tatouage qui existe depuis la nuit des temps, mais qui revient à la mode ces dernières années », reprend Thomas.
L’inscription maori.
D’après Sam, tatoueur itinérant et organisateur du salon, les amateurs de tattoo ne s’embarrassent plus de fioritures. « On est souvent sur un trait, une couleur. »
Signe de l’infini ou trio d’étoiles, les symboles ont la cote. Les chiffres romains également. « Pour ça, merci Rihanna ! », sourit Thomas. Informations et tarifs : tattoo-montpellier.fr.
Le tradi’. symboles. LA MÉTÉO À MONTPELLIER AUJOURD’HUI DEMAIN