Les voisins visés
Le procès devrait aussi s’attarder sur la responsabilité des voisins accusés par le procureur de Reims de ne pas avoir alerté les autorités. « Cet enfant aurait passé la Noël si les voisins avaient réagi », avait-il critiqué en 2016. L’un d’eux, renvoyé en justice pour non-dénonciation, a été relaxé en première instance et en appel. Mais le parquet général s’est pourvu en cassation. Ce voisin pourrait être cité comme témoin lors du procès qui s’ouvre ce lundi.