20 Minutes (Nantes)

Au bureau, dans la cuisine ou dans la salle de bains, les purificate­urs d’air entrent dans une nouvelle ère

« 20 Minutes » a testé quatre purificate­urs d’air domestique­s, bienvenus à l’heure de la reprise du (télé)travail

- Christophe Séfrin

Changez d’air ! Après les grands espaces durant les vacances, retour à la maison, au bureau, à l’école, dans le métro… avec un air intérieur d’une qualité parfois incertaine, et le virus du Covid-19 qui continue de se propager.

Pour lutter contre la pollution intérieure, mais aussi les acariens, les pollens et les microbes, les purificate­urs d’air semblent être une solution efficace. En tout cas, ils répondent à une demande grandissan­te : selon le Gifam (Groupement interprofe­ssionnel des fabricants d’appareils et d’équipement ménager), 54 % des Français seraient ainsi plus soucieux de la qualité de l’air intérieur. Et pour cause, nous passons 80 % de temps dans des lieux fermés et l’air que l’on y respire peut être de moins bonne qualité que l’air extérieur, selon l’Ademe.

Alors, faut-il s’équiper ou pas ? 20 Minutes a testé quatre purificate­urs d’air pour tous les budgets et toutes les pièces de la maison. et d’un filtre à charbon actif, l’appareil est à recommande­r pour une pièce de taille restreinte, comme un salon, un bureau ou une chambre. Attention, à la puissance max, le purificate­ur incommode par son niveau sonore (que nous avons mesuré à 60 dB [A]). Son mode nuit reste, lui, assez silencieux. Avec 35 dB (A) mesurés, Bright fait l’équivalent du bruit d’un petit ventilateu­r, ce qui suppose qu’on le placera plutôt dans un coin de la pièce qu’à côté du lit.

Bright, de Duux. Surface couverte : jusqu’à 27 m2. Débit d’air : 200 m3/h. Filtres : HEPA, charbon actif. 199 €.

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