Au bureau, dans la cuisine ou dans la salle de bains, les purificateurs d’air entrent dans une nouvelle ère
« 20 Minutes » a testé quatre purificateurs d’air domestiques, bienvenus à l’heure de la reprise du (télé)travail
Changez d’air ! Après les grands espaces durant les vacances, retour à la maison, au bureau, à l’école, dans le métro… avec un air intérieur d’une qualité parfois incertaine, et le virus du Covid-19 qui continue de se propager.
Pour lutter contre la pollution intérieure, mais aussi les acariens, les pollens et les microbes, les purificateurs d’air semblent être une solution efficace. En tout cas, ils répondent à une demande grandissante : selon le Gifam (Groupement interprofessionnel des fabricants d’appareils et d’équipement ménager), 54 % des Français seraient ainsi plus soucieux de la qualité de l’air intérieur. Et pour cause, nous passons 80 % de temps dans des lieux fermés et l’air que l’on y respire peut être de moins bonne qualité que l’air extérieur, selon l’Ademe.
Alors, faut-il s’équiper ou pas ? 20 Minutes a testé quatre purificateurs d’air pour tous les budgets et toutes les pièces de la maison. et d’un filtre à charbon actif, l’appareil est à recommander pour une pièce de taille restreinte, comme un salon, un bureau ou une chambre. Attention, à la puissance max, le purificateur incommode par son niveau sonore (que nous avons mesuré à 60 dB [A]). Son mode nuit reste, lui, assez silencieux. Avec 35 dB (A) mesurés, Bright fait l’équivalent du bruit d’un petit ventilateur, ce qui suppose qu’on le placera plutôt dans un coin de la pièce qu’à côté du lit.
Bright, de Duux. Surface couverte : jusqu’à 27 m2. Débit d’air : 200 m3/h. Filtres : HEPA, charbon actif. 199 €.