Planeum met les relations à plat
Selon Great Place to work, un environnement de travail sain rend les salariés plus épanouis
La confiance règne chez Planeum. 97% des collaborateurs de cette société, classée troisième au palmarès Great Place to work (GPTW), affirment que leur encadrement fait preuve d’un intérêt sincère à leur égard en tant qu’individu et pas seulement en tant que salarié. Le bon score de la société de conseils en systèmes et logiciels informatiques souligne un fait : un environnement de travail sain contribue au bien-être et à l’épanouissement des salariés. Concrètement, chez Planeum, « pour garantir un équilibre entre vie privée et professionnelle, nous avons
« Il y a une confiance totale entre associés et consultants. » Gia-Lam Nguyen, associé gérant chez Planeum
mis en place un réseau de crèches d’entreprise. Nous avons aussi des horaires flexibles et la possibilité de faire du télétravail », détaille Ludivine Gontard, directrice des ressources humaines chez Planeum. Pratique pour se ménager du temps avec sa famille. Pour favoriser de bonnes relations de travail, l’entreprise a également fait le choix d’une organisation horizontale. Avec un but avoué, renforcer la coopération et la confiance mutuelle entre salariés. « Il n’y a pas de strates entre associés et consultants, quelle que soit l’ancienneté. Cela induit une confiance totale entre nous », résume Gia-Lam Nguyen, associé gérant chez Planeum.
Des collaborateurs fidélisés
Résultat : 100 % des salariés de l’entreprise affirment qu’ils peuvent compter sur l’aide d’un collègue ou d’un autre membre du personnel. On a connu pire comme ambiance de travail. Pour Carole Lepelley, manager du développement organisationnel chez GPTW, l’exemple Planeum coche toutes les cases de la société où il fait bon travailler: « En agissant sur ces différents leviers, les entreprises contribuent au bien-être de leurs collaborateurs, qui sont du coup plus performants. » Pour une fois que l’herbe est moins verte chez le voisin, ces pratiques permettent aux entreprises de retenir leurs meilleurs éléments dans un environnement très concurrentiel. « Avec une ancienneté moyenne de cinq ans, le turnover est beaucoup plus faible chez nous que chez nos concurrents », relève Gia-Lam Nguyen. Gagnant-gagnant.