Déjà un vote pour lui en 2011
La précocité de Benzema avait attiré l’oeil d’Adel Amrouche en 2011, alors sélectionneur du Burundi, le seul à l’avoir choisi en n° 1 dans ses choix au Ballon d’or.
« Je savais que les gens allaient me tirer dessus avec ce choix, raconte-t-il. J’ai même trouvé des articles jusqu’au Pakistan. Cela m’a touché un peu, mais je n’avais pas honte. Je suis entraîneur, je sais de quoi je parle. J’ai aussi un master en psychologie du sport, je comprends par quoi les joueurs peuvent passer. En étant à la fois entraîneur et formateur, ma vision me disait qu’il méritait d’être classé n° 1. »