Un mal-être encore tabou
Pour Frédéric Hantz, il est nécessaire que l’entraîneur, soumis à une pression énorme, bénéficie d’un « accompagnement, pour évacuer certaines interrogations ». « Ça reste quand même un métier violent, ajoute Cédric Quignon-Fleuret. Le mal-être des coachs reste encore tabou. Très peu se font accompagner. »