Neymar sort en quatrième vitesse
Une anecdote en dit long sur l’impuissance des coachs de L1. Christophe Galtier, le qui avait organisé des jeux ludiques à l’entraînement pour éviter « la psychose de la blessure », s’est précipité sur Neymar avant que ce dernier, remplacé à l’heure de jeu, ne rentre aux vestiaires en vitesse. Pourquoi un tel empressement ? « Je savais qu’il devait partir vite, je n’étais pas sûr de le revoir dans le vestiaire à la fin du match. » Pas sûr que le Brésilien montre pareil diligence à revenir dans l’hiver parisien fin décembre.