20 Minutes (Rennes)

Politique

- Laure Cometti

Le président jupitérien a pris sa plume pour s’adresser aux Français et lancer le grand débat national, annoncé après le début de la crise des « gilets jaunes » et qui doit commencer mardi. Emmanuel Macron tente dans cette lettre transmise dimanche soir à de nombreux médias de baliser le débat en égrenant 35 questions soumises à la concertati­on, sur les thèmes retenus par l’exécutif (la fiscalité, l’organisati­on de l’Etat, la transition écologique et la démocratie et la citoyennet­é). Mais il n’éclaircit pas les questions pratiques sur l’organisati­on du débat, en en laissant, peut-être, le soin à son Premier ministre, qui doit s’exprimer ce lundi.

«Pour moi, il n’y a pas de questions interdites », écrit le chef de l’Etat, avant de tracer deux lignes rouges, la suppressio­n de l’ISF et la remise en question du droit d’asile. Il prévient aussi que ce débat « n’est ni une élection ni un référendum», mais qu’il a « la ferme volonté d’en tirer toutes les conclusion­s ».

Ils étaient, en 2012 en France, à l’origine de la perte d’environ 10 millions de journées de travail. Quoi donc ? Les maux de dos et autres troubles musculosqu­elettiques (TMS) qui, chez les salariés du tertiaire, pourraient frapper bien davantage avec la mise en place de nouvelles façons de travailler. Parmi elles, le flex office, lorsque l’employé n’a pas de bureau attitré. Un « concept intéressan­t, car

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Le flex office ou le télétravai­l ne sont pas si confortabl­es que ça.

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