20 Minutes (Rennes)

Le vendredi 13, un jour de chance ?

- Charles Montmasson Raúl Inc / NounProjec­t.com

Treize aimable. Et pourquoi pas ? Pour survivre au vendredi 13, sommesnous condamnés à passer vingt-quatre heures sous la couette, ou « déguisés en joueurs de hockey », comme François, l’un des lecteurs qui ont répondu à notre appel à témoignage­s ? « Je me suis cassé trois fois quelque chose dans ma vie : le poignet, la clavicule, la cheville », raconte-t-il. Chaque fois… un vendredi 13. « À tous ceux à qui ce jour a porté chance : donnez-moi la recette pour retrouver le sourire », implore-t-il. Ollivier est-il bien placé pour le conseiller ? Au lycée, il « s’est fait désintégre­r par les profs » en conseil de classe, deux fois la même année, lors de deux vendredis 13. Peutêtre que oui, en fait :« Maintenant que je suis buraliste et détaillant de la Française des Jeux, je vois les vendredis 13 d’un autre oeil. »

« Le plus beau jour de ma vie »

Il n’y a pas que l’argent dans la vie. « J’ai accouché de mon fils un vendredi 13, trois semaines avant la date prévue, témoigne Sonia. Je voulais accoucher ce jour-là. »

« Le vendredi 13 janvier 2012 fut le plus beau jour de ma vie, j’ai eu la chance de devenir papa d’une merveille de petite fille », raconte Jonathan, qui a failli rater l’événement. « Le trajet entre mon bureau et la clinique fut un rallye, Sébastien Loeb n’aurait rien pu faire contre moi, ajoute-t-il. J’ai réussi à être là juste à temps, avant qu’ils emmènent la maman au bloc. J’adore le vendredi 13. » Merci pour votre histoire, Jonathan. Et même si ce n’est pas son anniversai­re, rien ne vous empêche de faire un gâteau à votre fille.

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