Un premier titre évocateur
étaient déjà rock. Au final, il n’y en avait pas tant que ça. Mais il existait aussi des « gold » [incontournables] comme Dragon Ball, Denver le dernier dinosaure, etc. Et aussi des titres qui ne sont pas les miens comme Ken le Survivant et Jeanne et Serge, qui n’a pas été facile à arranger. C’est d’ailleurs un de mes préférés. Mes coups de coeur, ça a été Goldorak Go et Capitaine Flam, car j’aime beaucoup Jean-Jacques Debout.
Comment avez-vous réussi à transformer des chansons plutôt
Bernard Minet a choisi Les Chevaliers du zodiaque comme premier titre de son album. « Sur les différentes plateformes d’écoute, c’était la plus écoutée, explique-t-il. Mais ça a été l’une des plus difficiles à arranger. »
enfantines en morceaux pour métalleux ?
Je voulais essentiellement de la guitare, un peu comme les Japonais. Car, à l’époque d’AB Productions, on nous avait reproché de ne pas être assez rock. On avait beaucoup de gimmicks au synthé, donc je ne savais pas si on arriverait à s’en passer. Mais, surtout, je ne voulais pas dénaturer les chansons. Je ne voulais pas décevoir le public qui aimait ces chansons de l’époque ni être ridicule et risquer de décevoir les métalleux. Je les chante de la même manière, car j’ai la chance d’avoir une petite signature vocale. On a commencé par arranger Goldorak Go. J’ai simplement souhaité ajouter Merguez Party et La Fête au village, pour mes potes [Les Musclés].