Branle-bas de combat à Bogota
étoile a veillé sur eux. Lorsqu’ils se sont retrouvés dans des situations périlleuses, ils ont toujours pu sauver leur peau. Ils ont failli quitter l’aventure à la fin de la quatrième étape, mais celle-ci n’était pas éliminatoire. En revanche, ils ont été éliminés à l’issue de l’épisode suivant. Ils ont cependant pu réintégrer le jeu en raison du forfait, pour raisons médicales, du binôme composé de Steve et Martine. La baraka accompagnera-t-elle le couple jusqu’au bout de la finale ?
Laëtitia et Aurélie peuvent compter sur leur ténacité. Les Auvergnates aux « tempéraments volcaniques », comme elles se définissent, ne sont pas du genre à se décourager. Face à d’autres candidats a priori plus athlétiques, elles ne se sont pas laissé impressionner. Mieux, elles se sont montrées redoutables lors de l’exercice de l’auto-stop, et le fait que Laëtitia maîtrise particulièrement bien la langue espagnole n’est pas étranger à cette efficacité.
VLeurs points faibles
Mounir et Lydia ont du mal à communiquer. Les fidèles de « Pékin Express » se sont habitués à voir les différentes épreuves se transformer en scènes de ménage. Un coup, c’est Mounir qui s’agace de voir son épouse confondre la droite et la gauche. Un autre, c’est Lydia qui s’impatiente quand son mari ne parvient pas à se servir d’un talkie-walkie. Le temps passé à s’engueuler, c’est du temps de course perdu. Et sachant qu’en finale chaque seconde de retard sur ses adversaires a un prix, cela pourrait leur coûter cher.
Laëtitia et Aurélie peinent à lâcher prise. Les deux soeurs sont au taquet et ont du mal à gérer leur stress. Résultat, la panique peut les submerger à la moindre contrariété et l’ambiance, virer à l’orage. Le pire, c’est que lorsque l’une d’elles se met à angoisser, l’autre ne s’échine pas forcément à l’aider à retrouver la sérénité. Le temps passé à se monter la tête, c’est aussi du temps de course perdu. Et sachant qu’en finale, chaque seconde de retard sur ses adversaires a un prix… vous connaissez la chanson.
VV