Les films du studio Ghibli vont en attendrir plus d’un sur Netflix
Dès le 1er février, la plateforme fera redécouvrir les oeuvres du studio japonais, à travers les films de Miyazaki et Takahata
C’est un cadeau bien plus gros que le petit paquet que tend Totoro sur la photo d’illustration qu’offre Netflix à ses abonnés français, à partir du 1er février. Vingt et un films du mythique studio d’animation Ghibli – celui de Hayao Miyazaki – seront disponibles sur la plateforme. Mais comment s’y retrouver dans cette offre pléthorique?
En douceur. Mon voisin Totoro (1988), Porco Rosso (1992) ou encore Kiki la petite sorcière (1989) seront proposés, dès le 1er février. Ces contes magiques sont parfaits pour une première approche de l’oeuvre de Miyazaki. Totoro fera la joie des spectateurs dès leur plus jeune âge en raison de sa poésie et de son absence de méchant. L’adorable Kiki et le craquant aviateur Porco Rosso font aussi partie des héros les plus accessibles.
Enchanteurs. Le 1er mars, Nausicaä de la vallée du vent (1984), Princesse Mononoké (1997) et Le Voyage de Chihiro (2001) présenteront des héroïnes fortes, qui ont communiqué leur identité à Ghibli. Le cofondateur du studio Isao Takahata, décédé en 2018, signe des films plus délicats avec Mes voisins les Yamada (1999) et Le Conte de la princesse Kaguya (2013), deux enchantements aux teintes pastel dans lequels il décrit son pays, avec humour et poésie.
Tout en splendeur. Dès le 1er avril, le spectateur se plongera dans des longs-métrages plus difficiles d’accès (Le Château ambulant [2004] et Le Vent se lève [2013]) où Miyazaki-san s’interroge sur la vieillesse et la création. Pompoko (1994) de Takahata a de quoi émouvoir tant son message écologique est poignant.