20 Minutes

Chantal Thomass enchante Damart

La créatrice de lingerie signe sa seconde collaborat­ion avec la marque

- Clio Weickert

«Damart, ça gratte », « Damart, c’est moche. » Adeptes de la célèbre marque de sous-vêtements qui tiennent chaud, vous avez dû entendre au moins une fois l’une de ses remarques méprisante­s et méprisable­s. Sauf si comme beaucoup, vous n’avez jamais eu le courage d’avouer votre amour pour Damart en public (votre mère, ça ne compte pas). Détendez-vous, ce n’est plus qu’un lointain cauchemar. Après avoir modernisé sa gamme de sous-vêtements, Damart s’encanaille pour la seconde année d’affilée avec la reine de la lingerie : Chantal Thomass. Une double raison d’assumer son goût pour le Thermolact­yl – et de faire enrager les rageux. Une icône de la lingerie chez Damart, surprenant, non ? « Avant, la marque m’évoquait les petits tee-shirts que j’achetais pour mes enfants, quand ils étaient petits », reconnaît Chantal Thomass. Mais la créatrice a été séduite par la matière « extraordin­aire et innovante » du Thermolact­yl et par les équipes de la marque française. D’autant que, à la différence de sa première collaborat­ion, Chantal Thomass s’est penchée sur du prêt-à-porter, et non des dessous. « Cela me manquait, je n’y avais pas touché depuis vingtcinq ans. » Et le challenge est plutôt réussi. Au total, Damart propose 13 pièces inédites sorties tout droit de la tête de la femme à la frange, disponible­s dès lundi en ligne et en magasins. Il y en a pour tous les goûts : body à col Claudine, sweat, jupe patineuse et jupe midi, ou encore la pièce forte de la collection : le perfecto, orné de petits noeuds. L’ensemble est réalisé exclusivem­ent en Thermolact­yl, des degrés 2 (chaleur douce) jusqu’à 5 (chaleur extrême). Comptez de 39 € pour les petites pièces à 129 € pour les grosses (le blouson motard notamment). Avec Damart (confort et chaleur) et Chantal Thomass (élégance et touche sexy), vous n’avez donc plus aucune raison de cacher à vos proches votre penchant pour le Thermolact­yl.

« Je n’avais pas touché au prêtà-porter depuis vingt-cinq ans. Ça me manquait. »

W

Newspapers in French

Newspapers from France