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Uter, cet Amarok se classe en tout-chemin

Commençons par ce qui se voit au premier coup d’oeil, la carrosserie. Chez Mitsubishi, on innove puisque la cabine approfondie profite désormais de pratiques petites portes arrière à ouverture inversée. Mais cette nouvelle génération de L200 abandonne aussi la configuration simple cabine, à la différence d’un Amarok qui propose cette seule alternative en complément de la version quatre portes. Côté fiche technique nos deux pick-up proposent plusieurs solutions. Ainsi, outre des blocs turbodiesel qui abandonnent, dans les deux cas, un peu de technologie pour proposer un moteur d’entrée de gamme moins puissant (140 ch pour le Volkswagen, 154 ch côté japonais) ou des boîtes manuelles comptant toujours six rapports, on remarque également la présence de chaînes cinématiques plus traditionnelles reprenant le schéma toujours très répandu dans la catégorie du 4x2/4x4 sans différentiel central doté d’une gamme courte. sage préalable sur la balance met à jour une différence de poids susceptible de faire changer la donne. La confirmation ne se fait pas attendre car, à l’exception d’une vitesse de pointe où il parvient à faire illusion, le Volkswagen voit son déficit tourner autour de la seconde sur l’ensemble de nos mesures d’accélération et de reprises. Un écart qui n’a rien d’anodin mais qui, pourtant, ne se ressent pas vraiment au volant. Au contraire, le fonctionnement plus réactif de la boîte 8 auto de l’Amarok laisserait même penser le contraire. L’agrément de conduite est donc bien dans les deux cas au rendez-vous, le Mitsubishi ayant incontestablement progressé en termes de comportement. Beaucoup plus proche de la référence allemande, son accord de suspension apparaît beaucoup mieux réussi, la fermeté de son pont arrière à lames n’étant plus exagérément compensée par la mollesse de son train avant. Désormais équilibré, son amortissement distille un confort de bon aloi pour un pick-up, et il ne lui manque qu’une pointe de dynamisme pour égaler son concurrent du jour.

Double cabine pour

usage familial

Par définition, on choisit ce type de carrosserie, qui réduit de fait la longueur de la benne, pour disposer de vraies places arrière. Sur ce point, le

En sus de la double cabine, si le L200 n’existe plus qu’en cabine approfondie avec portes arrière antagonistes, au contraire l’Amarok se décline seulement en simple cabine.