Numéro 5, par Audi
Il n’y a pas que dans le monde de la parfumerie que le « 5 » est un numéro symbole d’excellence ! La preuve avec l’Audi Q5, qui nous revient sous les traits de cette seconde génération, bien armée pour enivrer les esthètes du monde entier !
vrir ! Ainsi, c’est le cas des nouvelles aides à la conduite autorisant un pilotage automatique dans les bouchons, de l’affichage tête haute, des phares séquentiels Matrix LED (avec clignotants dynamiques), du pavé tactile intégré au bouton-poussoir rotatif (avec commandes vocales), de la hifi Bang&Olufsen (à effet 3D) et même d’inédites « Audi Tablet » fixées au dos des sièges, semblables à des iPad amovibles assurant l’infodivertissement. La révolution du Q5 est aussi mécanique, et pas seulement au niveau des moteurs ! Ainsi, en plus d’un allègement sensible de 90 kg grâce à l’emploi d’aluminium, le Q5 propose la nouvelle transmission quattro « ultra », qui débraye automatiquement le train arrière en ligne droite afin d’économiser du carburant. Cela n’empêche pas d’accéder à un vrai plaisir de conduite, accentué par le « diffé- rentiel sport » (réservé aux gros moteurs), et même à un confort souverain promis par la suspension pneumatique déjà en service sur le Q7. Au lancement, le Q5 contentera la majorité, avec un 2.0 TDI (couplé avec la bvm6 ou la Stronic à sept rapports), décliné en trois niveaux de puissance : 150 ch (décliné en 4x2), et 163 ch et 190 ch, la Tiptronic à huit vitesses étant réservée au puissant V6 3.0 TDI de 286 ch (620 Nm). En essence, l’offre se limite au 2.0 TFSI de 252 ch, anecdotique chez nous. Reste qu’en essence ou diesel, ce « numéro 5 » distille bien un parfum de luxe, son premier prix étant fixé à 45 100 € en Allemagne.