Moteur et transmission
Un agrément reconnu
Le 4 cylindres 2 litres TDI a beaucoup fait parler de lui ! Toujours en bien, dans son comportement au quotidien, et – hélas ! – en moins bien, puisque c'est sur cette mécanique qu'a reposé le fameux « Dieselgate »… Mis à contribution chez tous les constructeurs du groupe, sous un capot orné du sigle VW, Audi, Seat ou Skoda, ce moteur muni d'une injection directe est des plus agréables à utiliser, surtout depuis qu'il bénéficie d'une alimentation par rampe commune, suppléant des injecteurs-pompes qui le rendaient bruyant et rugueux. Dans cette version 140 ch (et 32,6 mkg de couple), il s'avère d'ailleurs presque aussi efficace, et de loin plus agréable à l'utilisation, que sa déclinaison 170 ch…
Haldex fait le job !
Pour obtenir la transmission intégrale permanente aux quatre roues, Volkswagen a également pioché dans sa (riche) banque d'organes, en retenant le système Haldex baptisé, chez VW, 4Motion. Il s'agit d'un dispositif très simple, qui utilise un coupleur central, sous forme d'un embrayage électrohydraulique. Géré électroniquement, le 4Motion transmet 90 % du couple sur le train avant lorsque les conditions d'adhérence sont bonnes, et assure, en cas de nécessité, une répartition adéquate de ce couple vers les roues les moins adhérentes. La boîte mécanique offre six rapports, tandis que la boîte pilotée à double embrayage DSG (hautement recommandée !), en propose sept, sur cette version 2011.