Dents et audition… On donne un coup de croc à nos factures

UN COURTIER POUR NÉGOCIER. Il peut dégoter des tarifs dentaires jusqu’à 40 % moins chers. Une fois le devis en main, il le transmet à des dentistes partenaires où la fabrication des prothèses dentaires est certifiée française. En échange, il perçoit une commission autour de 25 % sur l’économie réalisée. Le bémol : ses services sont limités à Paris (parfois en régions). courtier-devis-dentaire.com EXAMINER LES ALTERNATIVES LOW COST. Des associations essaient de développer l’accès aux soins dentaires. C’est le cas d’Addentis, qui compte trois centres dentaires en SeineSaint-Denis (à Aubervilliers, Bondy et Bobigny) et divise les coûts par deux : autour de 450 € la couronne céramo-métallique facturée en moyenne 950 € (addentis.fr). Autre piste : les centres Dentifree – il y en a une dizaine en France – qui commandent le matériel et les matériaux en grosses quantités pour obtenir des rabais. Leurs prestations (seulement les actes coûteux comme les implants, les couronnes…) sont 40 % moins chères que chez leurs collègues et les économies peuvent atteindre jusqu’à 1 000 € pour un implant. dentifree.com SOIGNER SON AUDITION CHEZ LE PHARMACIEN. Réservés aux troubles auditifs légers et stables, les assistants d’écoute préréglés, désormais, sont autorisés à la vente en pharmacie et sont bien moins chers qu’une aide auditive classique : 299 € contre plus de 1 500 € en moyenne. En revanche, ils ne sont pas remboursés, ni par la Sécu ni par les mutuelles (sauf rares exceptions).