Ternes ? J’allume la lumière

Bannir les silicones. Sceller la brillance.

Bien que cette substance chimique ait l’art de démêler, d’adoucir et de faire briller illico, elle présente un problème majeur : encrasser le cheveu, empêchant les soins de pénétrer et les colorations de prendre.

A garder en tête : après le shampooing, les cheveux restent lumineux 2 jours maxi. La pollution a vite fait de ruiner son action sauf si on joue les prolongations avec un aprèsshampooing qui lisse, nourrit, assouplit, sans alourdir les cheveux. Neutraliser le calcaire. Grâce à son pH acide, le vinaigre de brillance sauve nos cheveux de la dureté de l’eau, fléau de l’éclat. Au dernier rinçage, quelques gouttes suffisent à dissoudre le calcaire, resserrer les écailles, lisser les longueurs. Le bon réflexe : pour un brushing hyperbrillant, diluer du Coca dans de l’eau (1/4-3/4). Mélanger et retirer la mousse, mélanger à nouveau, placer dans un vapo et pulvériser avant de sécher. Nos alliés. Enrichie en huile de calendula, sa base lavante est 100 % naturelle, Shampooing Brillance Intense, Yves Rocher, 3,50 €. Avec des extraits de framboise et de lavande bio associés au vinaigre de fruit, c’est le shampooing enlumineur par excellence, Shampooing Vinaigre de Brillance, Eugène Perma, 12,60 €. Au silose, un sucre naturel extrait de plante, il protège les cheveux de la chaleur du séchoir et de la déshydratation, Soin Revitalisant Sugar Shine, Biolage, Matrix, 20,40 €. Sa formule à base d’alcoolat de Fioraventi et de vinaigre d’acérola démêle et assure une mégabrillance, Vinaigre de Brillance Lumicia, René Furterer, 16,25 €.