L’addiction, ça commence comment ?

Depuis qu’on a offert le jeu The Legend of Zelda à Maxime, j’ai l’impression qu’il ne s’intéresse plus à rien d’autre. Quand j’ai accepté que Sybille ouvre un compte Instagram, je ne pensais pas que son téléphone allait sonner jour et nuit au rythme des commentaires de ses copines.

On s’inquiète ? A l’adolescence, la passion pour la nouveauté peut ressembler à de l’addiction, mais, au bout d’un certain temps (une semaine, un mois), l’ado passe à autre chose. Dépasser les 30 h de jeu hebdomadaire est un signal d’alarme. Mais rassurons-nous, selon une étude OpinionWay, si un parent sur deux n’a aucune idée du temps que passe son enfant sur les écrans, ceux qui croient savoir… se trompent. Les 4 h 44 quotidiennes, où nous imaginons nos petits chéris sur leurs claviers, ne sont en fait que 1 h 15. On surveille… les signes de fatigue chronique, l’absence physique ou mentale en classe, les réveils au milieu de la nuit pour répondre aux copains. Dans la vraie vie. Quand les écrans empiètent sur le temps de sommeil, le seul moyen fiable est de ramasser les appareils au moment du coucher. Mais pour responsabiliser l’enfant et ouvrir la discussion, on installe l’appli Digital Coach conçue par Xooloo sur nos téléphones et nos tablettes (à partir de 2,99 €/mois). Elle permet d’analyser les connexions des téléphones et des tablettes, de limiter les contenus, de borner les plages horaires…