BEAUTƒ
C’EST QUOI
L’alternative, à domicile, d’une technique née en institut : le masque facial professionnel. Nettement plus abordable, ce nouveau venu, nomade et en dose unique, améliore la qualité de la peau grâce à trois actions conjointes : sa forte concentration en actifs, son support tissu (ultra-enveloppant) conçu pour épouser toutes les formes de visage (avec des trous pour les yeux, le nez et la bouche), et un temps de pose adapté à une diffusion lente et continue du soin.
D’OÙ ÇA VIENT
Du Japon où les masques tissu sont apparus… il y a trente ans ! Réservés, à l’origine, aux Spa et considérés comme des soins pur luxe, ils entrent dans les rituels coréens en 2004. Il aura fallu attendre dix ans pour qu’ils suscitent chez nous le même engouement, et pléthore de propositions.
JE M’Y METS SI…
Je suis en quête d’hydratation. L’efficacité démultipliée du masque, qui gorge l’épiderme d’eau et d’actifs bienfaisants (antipollution, imperfections et antirides), lui fait gagner éclat, transparence et luminosité. Au final, la peau paraît repulpée, plus jeune, plus fraîche. Et si j’ai envie de prendre du temps pour moi, ces masques invitent à vivre l’instant présent, comme le préconisent les préceptes bouddhistes.
J’OUBLIE SI…
Je suis pressée. Certes, ces masques tissu s’inscrivent dans le concept que les Japonaises nomment shinagara cosme
(« cosmétique en faisant autre chose »), mais, hormis la lecture et la méditation, il est difficile de sortir de sa salle de bains (ou de quitter son canapé) et de trouver une autre activité quand on a le visage masqué pendant 10-20 min…