Cap’ ou pas cap’ ?
PASSER UN CAP PÂTISSIER ET MANIER LA POCHE À DOUILLE COMME UN PRO, C’EST UN RÊVE QUI PEUT DEVENIR RÉALITÉ !
par
FLAVIE DEGRAVE PASSIONS PÂTISSIÈRES. Emissions de télé, chefs médiatisés, blogs et nouvelles boutiques monothématiques (choux, meringues, macarons, éclairs…) : le sucré cartonne plus que jamais. Un boom qui aiguise les appétits des gourmandes et suscite des envies de reconversion. PASSAGE À L’ACTE. Le CAP (Certificat d’aptitude professionnelle) est le nouveau Graal. A la prestigieuse école Ferrandi (Paris), il y a désormais plus de postulants en pâtisserie qu’en cuisine, et les places sont chères : 1 candidat sur 4 est retenu pour la formation adultes (4 mois de cours pratiques + 4 mois de stage), couronnée par 100 % de réussite à l’examen. EN CANDIDAT LIBRE. Pour les autodidactes, deux livres jouent la carte de l’apprentissage grand public, avec le CAP en ligne de mire : une approche ludique mais béton pour les « trublions du goût » Michel et Augustin, eux-mêmes néodiplômés ; des pas à pas pédago et un soutien vidéo pour les chefs Damien et Régis. Une mine de conseils pour acquérir les bases… que l’on passe le diplôme ou non ! A LIRE « Passez votre CAP pâtissier », de Michel et Augustin, 320 p., 24,95 €, éd. Hachette.
« Je passe mon CAP pâtissier en candidat libre, 750 g » , par les chefs Damien Duquesne et Régis Garnaud, 304 p., 25 €, Les Editions Culinaires. @flaviedegrave