Cet été, on papillonne utile
DES PISTES POUR PRÉSERVER LA FAUNE ET LA FLORE QUI NOUS ENTOURENT, CHEZ NOUS OU SUR NOTRE LIEU DE VACANCES.
ON COMPTE LES PAPILLONS. Mais aussi les escargots et les limaces présents dans son jardin, et on remplit une fiche de comptage mensuelle sur noe.org (rubrique reconnecter). Cet Observatoire de la biodiversité des jardins permet aux scientifiques du Muséum national d’histoire naturelle de suivre l’évolution des espèces.
ON SIGNALE LES FRELONS ASIATIQUES. Bien implantés dans l’est de la France, ils attaquent les abeilles et nuisent à la biodiversité. Si on en repère un ou plusieurs, on participe à leur recensement en envoyant une photo (prise à plus de 5 m en zoomant, prudence oblige) sur le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel : frelonasiatique.mnhn.fr/signaler/. S’il y a un nid, on prévient la mairie.
ON ACCROCHE UN NICHOIR. Pour participer à la grande enquête « Devine qui vient nicher chez moi ? » sur le site lpo.fr. Jusqu’au 30 septembre, on rapporte quel oiseau nidifie, le nombre d’oeufs pondus et de jeunes à l’envol...
ON TRAQUE L’AMBROISIE, surtout en Rhône-Alpes, Bourgogne, Charentes… Cette mauvaise herbe, qui libère sonpoll envers le mois d’août, esthyper allergisante et se répand à grande vitesse. En appelant le 09 72 37 68 88 ou grâce à l’appli Signalement Ambroisie, on alerte les autorités locales qui l’éliminent pour protéger notre santé et l’environnement.