Les exquises surprises de Bath
On quitte la Cornouailles en remontant vers Bath, avec des arrêts à Glastonbury et Wells pour leur ambiance médiévale. Vieux pays, l’Angleterre fut aussi colonie romaine. Bath, appelée Aquae Sulis dans l’Antiquité, en garde d’incroyables thermes valant à eux seuls la visite de la ville. Mis au jour au XIXe siècle et plus récemment mis en scène avec brio en 3D, ils comportaient une succession de bassins, saunas et fontaines. Leur musée conserve une somptueuse tête de la déesse Sulis Minerva Classée au patrimoine
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mondial de l’Unesco pour son passé romain préservé, Bath l’est aussi pour l’harmonie de son architecture georgienne, notamment au Royal Crescent, ensemble de maisons du XVIIIe ordonnées en arc de cercle. Y dénicher au n° 16 un très discret palace pour siroter un thé dans son jardin très protégé. Autre adresse aussi secrète qu’irrésistible : le manoir d’Iford, à Bradford-on-Avon. Ses exquises terrasses à l’italienne furent dessinées par le paysagiste anglais Harold Peto, qui aménagea au début du XXe siècle de nombreuses villégiatures sur la Côte d’Azur.
Piscine en terrasse aux Thermae Bath Spa Les bains romains de la ville Le parc Royal Victoria Sweet dreams : ravissant hôtel-pub champêtre, The Wheelwrights Arms, à Monkton Come, près de Bath. Chambre double à partir de 125 £ avec petit déj....