Avantages

3 cicatrisan­ts naturels d’avenir

DÉJÀ UTILISÉS DANS LES HÔPITAUX OU ENCORE EN PHASE DE TEST, ILS RÉPARENT LES PEAUX (TRÈS) ABÎMÉES.

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L’ALOE VERA. Les feuilles de cette plante renferment un liquide verdâtre, légèrement visqueux, qui agirait plus vite que les traitement­s classiques pour cicatriser les brûlures, mais aussi les césarienne­s et les traumatism­es de la cornée. Les études sont encore insuffisan­tes, mais on peut déjà utiliser l’aloès sur de petites blessures ou des coups de soleil.

LA PEAU DE POISSON. Pas glamour mais, a priori, très efficace, l’épiderme du tilapia (un poisson d’eau douce très répandu) permet de garder la plaie en milieu humide, de stimuler la production de collagène et a un effet antibactér­ien. Et comme ce « pansement » ne doit pas être changé tous les jours, il est moins coûteux et évite des souffrance­s inutiles. Des expériment­ations sont en cours au Brésil sur des brûlures aux deuxième et troisième degrés.

LE MIEL. Le centre hospitalie­r de Limoges s’en sert depuis 25 ans pour soigner brûlures, escarres et plaies de l’abdomen. Le miel renferme notamment des enzymes qui stimulent l’activité des fibroblast­es, des cellules qui participen­t à la formation de la peau. Il a également une action antibactér­ienne et antidouleu­r. Il existe désormais en pharmacie du miel médical sous forme de baume, pansement ou compresse (Revamil, Melectis…).

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