AVANT,
JE NÉGLIGEAIS LA QUALITÉ DES INGRÉDIENTS. Difficile de rivaliser avec les galettes de pro, surtout quand on n’a pas le courage de se lancer dans la confection d’une pâte feuilletée (1 tour, 2 tours, 3 tours… et il faut 2 h au moins !). Alors, on choisit une pâte feuilletée de boulanger, ou toute prête en GMS, mais 100 % pur beurre. Idem pour les oeufs, le beurre, les amandes : le haut du panier sinon rien !
JE CONFONDAIS CRÈME D’AMANDES ET FRANGIPANE. Les deux sont des garnitures tradi de la galette, mais la seconde est beaucoup plus riche, puisqu’il s’agit d’un mélange de crème d’amandes (beurre/sucre/poudre d’amandes/oeufs) et de crème pâtissière (avec du lait et de la fécule de maïs en plus donc, et re-du sucre, des jaunes d’oeufs…). L’important est de répartir cette garniture en une couche homogène (1,5 cm, c’est top)… et de ne pas oublier la fève !
ELLE MANQUAIT DE BRILLANCE. A minima, on dore l’abaisse de pâte supérieure avec du jaune d’oeuf avant de l’enfourner. Mais pour un résultat plus scintillant, on la badigeonne également d’un sirop de sucre (50 g, chauffé avec 5 cl d’eau) à la sortie du four… Attention les yeux !