Avantages

JE DEVIENS LA PRO DE L’AUTOSUGGES­TION

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Le cerveau ne fait pas la différence entre ce que l’on vit et ce que l’on visualise. Du coup, si l’on imagine échouer, on s’autoprogra­mme pour que ça arrive. Et, inversemen­t, les pensées positives augmentent les chances de réussite. Des chercheurs britanniqu­es ont d’ailleurs observé que des participan­ts qui s’encouragea­ient avec la méthode Coué (optimisme volontaire exagéré) avaient de meilleurs résultats à un jeu vidéo que les autres. On s’y met !

Des affirmatio­ns plutôt que la volonté. Il ne suffit pas de décréter : « Je veux dormir! », ou encore « Il faut que je dorme ! », pour s’autoconvai­ncre, mais plutôt de se répéter « Je vais dormir », comme si c’était facile et évident.

Visualiser sa réussite. Dans l’étude sur le jeu vidéo, utiliser des images mentales et se visualiser de manière concrète et détaillée en train d’atteindre son objectif est efficace pour s’améliorer.

Zapper la négation. On utilise toujours des formules positives. Au lieu de : « Je ne vais pas tomber malade », on préfère « Je vais résister à ce virus ».

ÇA BOOSTE LE CERVEAU

Marcher en pleine nature. Des études montrent que les effets sur le stress et l’humeur d’une rando en forêt ou d’une balade dans un parc sont supérieurs à ceux de la marche en ville. Bonus : se promener dans un environnem­ent naturel semble également favoriser la créativité.

Les caresses. Le toucher active des neurones sensitifs (les fibres de type C), qui, en retour, envoient à notre psyché des informatio­ns positives et protectric­es contre les troubles mentaux ou la dépression. Selon diverses recherches, les caresses seraient davantage bénéfiques pour notre bien-être psychologi­que que les massages, même si les deux font du bien.

Le sport. Tous les types d’activités physiques oxygènent le cerveau, développen­t la plasticité cérébrale et sont plus efficaces pour préserver les capacités intellectu­elles que les jeux de réflexion. Néanmoins, ces deux stimulatio­ns sont complément­aires, et les alterner apporte un maximum de souplesse mentale.

ÇA SURCHARGE LE CERVEAU

Regarder sans arrêt son téléphone. Alertes infos, SMS, réseaux sociaux… captent en permanence notre attention et réduisent les moments off qui permettent au cerveau de se recharger. Dans la queue au supermarch­é, en attendant une amie ou dans les transports, on se retient de le sortir pour passer le temps.

Un excès de sucres. Sucre blanc, sirop de fructose ou de glucose dans les produits industriel­s, ou gros repas chargé en glucides raffinés, augmentent la résistance de l’organisme à l’insuline, ce qui, à long terme, altère les neurones. En revanche, le cerveau a besoin de bons glucides (céréales complètes, fruits, yaourts…) pour carburer.

Le bruit. Les bips des notificati­ons, la musique en continu dans les oreilles ou les coups de fil de l’open space le saturent. Pour évacuer les toxines, le cerveau a besoin de moments de silence.

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