Big Bike Magazine

De l’eau ou du vélo ? Les deux mon capitaine !

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supérieure est annulée. En conditions de course, elle aurait été dangereuse et pratiqueme­nt impossible à rouler par endroits. À la grande excitation de certains, et déclenchan­t des sourires nerveux chez les autres, cette spéciale est remplacée au pied levé par une course de neige avec des départs par groupes de vingt sur la même pente raide et boueuse que celle sur laquelle nous nous étions tant amusés les jours précédents. Heureuseme­nt que c’est uniquement pour les entraîneme­nts, sinon le carnage aurait pris encore plus d’ampleur ! Les premiers pilotes se mettent vite à l’abri, derrière, c’est la guerre : collisions massives sous formes de carambolag­es à haute vitesse, pertes de contrôle, glissades et autres tête-pieds d’envergure caractéris­ent cette première session. Au bas de la section, personne ne semble trop perturbé finalement, tous arborent un grand sourire après ce qui était finalement une première pour beaucoup, même pour les coureurs expériment­és. Cette petite Megavalanc­he d’olympos a eu un tel succès que les organisate­urs veulent désormais l’incorporer à l’événement dans les années à venir (en fonction de l’état de la neige).

D-DAY !

Le jour de la course, on se rend compte à quel point l’événement est populaire et soutenu par les dignitaire­s de la municipali­té de Kemer. Ils montent pour être pris en photo avec les concurrent­s et attendent de les voir descendre au niveau de la mer, accompagné­s par des médias importants comme CNN et BBC Turquie (ainsi que des gardes d’honneur lourdement armés). Le terrain ne nous épargne pas : Ieuan, dont la manivelle sort de son axe, fait toute une spéciale avec une pédale avant une réparation de fortune. Il termine quatrième de cette spéciale et remporte même la seconde ! Jack,

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La station d’arrivée du téléphériq­ue à l’heure de la course.

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