Qui ne dit mot
NE CONSENT PAS
Depuis le 1er juillet, en Suède, les rapports sexuels devront être explicitement consentis par les partenaires, par un accord oral ou physique. Plus besoin, donc, pour les victimes d’agression ou de viol, de prouver que l’agresseur a eu recours à la violence, aux menaces, ou a profité de leur état de faiblesse pour pouvoir le poursuivre. Le simple fait de ne pas lui avoir dit « oui » suffit.