Bibliographie

– L’Afrique ancienne. De l’Acacus au Zimbabwe, 20 000 avant notre ère - XVIIe siècle, sous la direction de François-Xavier Fauvelle. Éd. Belin, 2018.

– The Kingdom of Kush, Handbook of the Napatan-Meroitic Civilization, de Laszlo Török. Éd. Brill, 1997.

– Prodigieuses créatures, de Tracy Chevalier. Traduit de l’anglais (États-Unis) par Anouk Neuhoff. Éd. Folio, 2010.

– Elles cinéastes Ad Lib 1895-1981, de Thérèse Lamartine. Les Éditions du remue-ménage, 1985.

– Jacqueline Audry, la femme à la caméra, de Brigitte Rollet. Éd. PUR, 2015.

– La drôle de guerre des sexes du cinéma français (1930-1956), de Noël Burch et Geneviève Sellier. Éd. L’Harmattan, 2019.

– Femmes cinéastes ou le triomphe de la volonté, de Charles Ford. Éd. Denoël, 1972.

– Les secrets de la Mère Brazier. Avec la collaboration de Roger Moreau, éd. Solar, 2001.

– Mangées. Une histoire des mères lyonnaises, de Catherine Simon. Éd. Sabine Wespieser, 2018.

– L’océan, les bêtes et l’homme ou l’ivresse du risque, d’Anita Conti. Éd. Payot. 2019.

– Le Carnet Viking. 70 jours en mer de Barents ( juin-septembre 1939), d’Anita Conti. Éd. Payot, 2018.

– Racleurs d’océans, d’Anita Conti. Éd. Payot, 2017.

– Pionnières – Anita Conti, océanographe, de Katia Ranalli, Luca Blengino et Nathaniel Legendre. BD. Éd. Soleil, mars 2020.

– Anita Conti. Portrait d’archives, de Clotilde Leton. Éd. Locus Solus, 2014

– Anita Conti : 20 000 lieues sur les mers, de Catherine Reverzy. Éd. Odile Jacob, 2006

À voir

– Anita Conti et les « Racleurs d’océans ». Documentaire de 10 min. en ligne sur le site de l’Ifremer, avec des images filmées par Anita Conti en 1952. wwz.ifremer.fr/webtv/Patrimoine/Anita-Conti

d’Isabelle Eberhardt.

– Amours nomades,

Éd. Folio. 2008.

– Écrits intimes, d’Isabelle Eberhardt. Éd. Payot, 2003.

– Lettres et journaliers, d’Isabelle Eberhardt. Éd. Actes Sud (coll. Babel), 2003.

– Yasmina, d’Isabelle Eberhardt. Présentation de Marie-Odile Delacour et Jean-René Huleu, éd. Liana Levi (coll. Piccolo). 2002.

– Isabelle Eberhardt. La vagabonde des sables, de Virginie Greiner et Annabel. Éd. Glénat, 2018.

– Isabelle Eberhardt. Un destin dans l’islam, de Tiffany Tavernier. Éd. Tallandier, 2016.

– Isabelle Eberhardt. Une identité dans l’altérité, de Christiane Chaulet Achour. Revue Diacritik, 2016.

– Isabelle du désert, d’Edmonde Charles-Roux. Éd Grasset, 2003.

– Aperçu sur la formation historique de la nation haïtienne, d’Étienne D. Charlier.Éd. Les Presses libres, 1954.

– Caribbean Women and Their Art: An Encyclopedia, de Mary Ellen Snodgrass. Rowman and Littlefield Publishers, 2019.

– Vivre ma vie. Une anarchiste au temps des révolutions, d’Emma Goldman. Traduit de l’anglais (États-Unis) par Laure Batier et Jacqueline Reuss, éd. L’Échappée, 2018.

– L’Épopée d’une anarchiste : New York 1886 Moscou 1920, d’Emma Goldman. Traduit et adapté de l’anglais (États-Unis) par Cathy Bernheim et Annette Lévy-Willard, Éditions Complexe, 2001.

– L’Agonie de la Révolution. Mes deux années en Russie (1920-1921), d’Emma Goldman. Traduit de l’anglais (États-Unis) par Étienne Lesourd, éd. Les Nuits rouges, 2017.

– De la liberté des femmes, d’Emma Goldman. Préface et traduction de l’anglais (États-Unis) par Thibaut de Saint-Maurice. Éd. Payot, 2020.

– Marie de Gournay. Itinéraires d’une femme savante, de Michèle Fogel. Éd. Fayard, 2004.

– Marie de Gournay, OEuvres complètes, sous la direction de Jean-Claude Arnould. Éd. Honoré Champion, 2002.

– Égalité des hommes et des femmes, suivi de Grief des Dames, de Marie de Gournay. Éd. Claude Pinganaud, Arléa, 2008.

– Gypsy: a Memoir, de Gypsy Lee Rose. Éd. Harper & Brothers, 1957.

– American Rose: A Nation Laid Bare: The Life and Times of Gypsy Rose Lee, de Karen Abbott. Éd. Random House, 2012.

À voir :

– Gypsy, de Mervyn LeRoy, 1962.

– Lady of Burlesque, de William A. Wellman, 1943.

– La Reine mystérieuse, Hatshepsout, de Christiane Desroches Noblecourt. Éd. Pygmalion, 2002.

– Hatshepsout, la femme pharaon, de Joyce Tyldesley. Éditions du Rocher, 1997.

– Reine d’Égypte, de Chie Inudoh. Traduit du japonais par Fédoua Lamodière, éd. Ki-oon, 6 tomes depuis 2017.

– Exposition au Metropolitan Museum : Metmuseum.org/exhibitions/listings/2006/ hatshepsut

– Hypatie d’Alexandrie, de Maria Dzielska. Éditions des femmes, 2010.

– « Hypatie d’Alexandrie entre réalité historique et récupérations idéologiques : réflexions sur la place de l’Antiquité dans l’imaginaire moderne », d’Anne-Françoise Jaccottet. Article en libre consultation sur Openedition.org. faire, d’Alain Bauer et François-Bernard Huyghe. Éd. PUF, 2010.

– La Guerre civile russe, d’Alexandre Jevakhoff. Éd. Perrin, 2017.

– Des vies en révolution. Ces destins saisis par Octobre-17, par François Bonnet. Éd. Don Quichotte, 2017.

– Madame S, de Sylvie Lausberg. Éd. Slatkine & cie, 2019.

– Mes mémoires, de Marguerite Steinheil. Éd. Nabu Press, 2011.

– À l’heure des mains jointes, de Renée Vivien. Éd. Hachette BNF, 2016.

– Renée Vivien à rebours. Études pour un centenaire, sous la direction de Nicole G. Albert. Éd. Orizons, 2009

– René Vivien, une femme de lettres entre deux siècles (1877-1909), textes réunis par Nicole G. Albert et Brigitte Rollet. Éd. Honoré Champion, 2012.

– L’imaginaire féminin dans l’oeuvre de Renée Vivien, de Marie-Ange Bertholomot Bessou. Éd. Presses universitaires Blaise Pascal, ClermontFerrand. 2004

– V comme Virago, d’Aude Gogny-Goubert et Adrien Rebaudo. First éditions, 2020.

– Parce que les tatouages sont notre histoire, de Héloïse Guay de Bellissen chez Robert Laffont, 2019.

– Le tatouage. Histoire d’une pratique ancestrale, de Jérôme Pierrat. La petite Bédéthèque des Savoirs, tome 8, éd. Le Lombard, 2016.

– American Indian Stories, de Zitkála-Šá. Version anglaise en accès gratuit sur Gutenberg.org.

– Dreams and Thunder. Stories, Poems and The Sun Dance Opera, de Zitkala-Ša. Édité par P. Jane Hafen (University of Nebraska Press), 2005.

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