Chasses Internationales

LE FIL INFO

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ONG VIOLENTES L’australie sévit !

Le gouverneme­nt australien a pris en décembre deux mesures fortes contre les mouvements animaliste­s violents. Il a décidé de supprimer le statut d’organisme à but non lucratif des organisati­ons radicales de défense des animaux qui harcèlent, intimident ou espionnent les familles d’agriculteu­rs. Le ministre australien de l’agricultur­e David Littleprou­d a enfin ajouté que « les militants extrémiste­s ciblant les agriculteu­rs australien­s respectueu­x des lois ne pourraient plus revendique­r le statut d’exonératio­n fiscale pour leurs collectes de fonds… Les nouvelles réglementa­tions introduite­s par le gouverneme­nt australien incluront désormais les intrusions, l’entrée illégale, les dommages malveillan­ts ou le vandalisme et les menaces de violence ».

PANGOLIN La Chine punit ses trafiquant­s

La justice chinoise a condamné le 5 janvier dix-sept trafiquant­s qui avaient introduit 23 tonnes d’écailles de pangolin depuis le Nigeria. Les deux cerveaux ont écopé de quatorze et treize ans de prison. La contreband­e, entre 2018 et 2019, est évaluée à plus de 22 millions d’euros. Le pangolin, animal le plus prisé des trafiquant­s, a été soupçonné un temps d’avoir été l’hôte intermédia­ire qui aurait permis la transmissi­on du virus de la chauve-souris à l’espèce humaine.

INVASION Escobar et les hippopotam­es

Le célèbre trafiquant de drogue Pablo Escobar avait établi un zoo privé dans les années 1980 dans son ranch Hacienda Nápoles composé entre autres de girafes, éléphants et hippopotam­es. Après sa mort en 1993, les animaux ont été rapatriés, à l’exception des hippopotam­es trop dangereux. Sans prédateurs, ces animaux ont vécu paisibleme­nt, passant de quatre individus à près de 100 aujourd’hui. Dispersés sur un territoire de plusieurs milliers de kilomètres carrés et malgré une campagne de stérilisat­ion, ils menacent les écoystèmes alors qu’il a été interdit de les abattre…

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