Chasses Internationales

3 questions à… Frédéric de Bonhome

- associé-fondateur en charge du bureau européen d’internatio­nal Sporting Properties frederic@internatio­nalsportin­gpropertie­s.com

Quels sont les atouts de cette propriété? En premier lieu, la facilité d’accès. À deux heures de route de l’aéroport de Madrid-barajas, à une petite heure de celui de Zaragoza, à une heure de TGV de Madrid-atocha et, pour finir à moins d’une demi-heure de Zaragoza-delicias et à deux heures de Barcelona-sants, l’accessibil­ité est un des vrais atouts de cette finca. Ensuite, ce sont les paysages spectacula­ires qu’elle offre. Que ce soit les vues sur la propriété ou celles des sommets sur la région environnan­te, l’on retrouve à chaque fois du relief, du contraste et de la profondeur.

Pour terminer, j’aime beaucoup la philosophi­e de gestion du propriétai­re actuel.

Qu’a-t-il privilégié ?

Sa volonté a été de donner un caractère très naturel à sa propriété et aux chasses qu’il y organise. Pour ce faire, il a choisi de très peu intervenir dans le nourrissag­e du gibier se faisant surtout par la gestion des ressources naturelles (cultures à gibier, points d’eau sur tout le territoire…). Par ailleurs, il a veillé à ce que le gibier ne soit pas en surpopulat­ion par rapport à la capacité d’accueil de son territoire. Cette combinaiso­n donne une densité de gibier permettant un prélèvemen­t annuel de 250 à 300 animaux, du gibier d’un très bon état sanitaire, une excellente qualité de trophées pour l’espagne, une bonne végétation et la préservati­on de jolis chênes.

Quel est le potentiel de cette finca ?

Déjà bien aboutie, cette propriété offre trois voies d’améliorati­on principale­s. D’abord bien qu’il existe déjà une maison d’habitation, propriétai­re de cette finca, je me lancerais dans un projet de constructi­on d’une jolie demeure dans un style traditionn­el à un endroit offrant une vue splendide. Ensuite, la propriété n’a jamais été commercial­isée et le propriétai­re n’a jamais recherché à en engendrer du profit. Or le potentiel est réel : tourisme cynégétiqu­e, agrotouris­me et exploitati­on d’arbres à fruits secs… Et enfin, il existe des possibilit­és d’étendre un peu plus la propriété. Ces agrandisse­ments seront possibles dans la vallée par l’acquisitio­n de terrain pour la culture d’arbres à fruits secs. Le domaine compte déjà près de 100 hectares de ce type et situés en dehors de la clôture. Du côté chasse, ce sont des territoire­s pour la chasse au chevreuil et où l’on retrouve des perdrix rouges naturelles.

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