Vous avez coché une majorité de
Est-ce votre bonne éducation ou une timidité envahissante ? Un complexe embarrassant ou un manque de confiance bien accroché ? En tout cas, si vous invitez un homme à partager votre couche, c’est qu’il a su toucher votre sensibilité avant votre culotte. Bien sûr, rien ne vous interdit de continuer à faire l’amour sage comme une image, sous les draps, lumières éteintes et chemisier replié, ça fait moins mal aux genoux et votre chignon reste en place. Mais puisque vous êtes allée au bout de ce test, peut-être n’êtes-vous pas contre essayer, un jour, disons demain, la version coquine de pince-mi pincemoi. Dépasser ses limites, au début, ça impressionne, ça implique de surmonter la peur des conséquences de nos actes, et la peur d’être mal jugée. Pourtant dépasser ses limites, c’est ni plus ni moins faire ce dont on a envie. Mais sans jamais se forcer. Vous êtes prête pour une folie douce, voici vos défis : Laisser la lumière allumée (niveau pandi panda). Accepter un cunnilingus sans serrer les cuisses. Des bras accueillants et des yeux gourmands même s’il est 15 heures et que le lavevaisselle n’est pas vidé. Une jupe un peu trop courte pour un rendez-vous galant (« Oui, et un bustier à zip tant que vous y êtes », s’offusque la timide). OK, alors enfiler une vraie culotte de femme (pas un genre de doudou beige délavé) et des talons. Zapper les préliminaires de temps en temps. Acheter les préservatifs. Sans les cacher sous les yaourts. Faire l’amour sur la table (niveau 2), et éventuellement avoir un orgasme toute seule (niveau punk).