Camélia Jordana
LLe moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle a bien changé ! Depuis « Nouvelle Star » en 2009, Camélia a pris du galon, de l’assurance, des cheveux aussi. Elle affirme que les extensions, c’est souvent un impératif professionnel, pas un choix personnel. Loin d’avoir la grosse tête, la jeune femme a les pieds sur terre. Elle le prouve en répondant cash à nos questions.
FRANCHISE Pour en revenir à ses cheveux, elle s’en occupe elle-même. Elle profite juste parfois des « mains de fée d’Alvarez, dans son salon du 9e arrondissement de Paris ». Elle n’a jamais fait de couleur, regrette une coupe à la garçonne à 11 ans, « rien de palpitant ». À l’interview beauté, Camélia la joue simple. Sauf que son originalité la rattrape de temps à autre. Adolescente, à Hyères, son idée de la féminité, c’est « Johnny Depp dans “Dead Man”, le film de Jim Jarmusch ». Visage maculé de boue, cheveux plaqués en arrière, une vraie gueule. D’où son envie d’arriver comme elle est à « Nouvelle Star ». À 17 ans, elle aussi impose un physique fort. Lunettes plantées sur le nez, lèvres fines, cheveux noir corbeau, il fallait oser quand, à l’époque, Paris Hilton se pavane sur les unes des tabloïds en mules roses. Mais Camélia confirme : « Je ne changerais rien à mes looks d’alors. C’était moi, c’est tout. » Elle a raison, sa personnalité fait toute la différence. Même
Bouche sexy