SACRÉE MOUMOUTE
Au Japon, à l’époque d’Edo – entre 1603 et 1868 –, la perruque est portée par de nombreuses femmes. La coiffure est un art, et il existe des centaines de chignons qui renseignent sur l’âge, la condition sociale, la profession ou le statut matrimonial. Bien mieux qu’une carte d’identité ! Pour tout connaître de la routine beauté des Japonaises de cette époque, on file à la Maison de la culture du Japon à Paris découvrir l’expo Secrets de beauté. Jusqu’au 6 février,
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