LE MASTER
Diplôme et grade universitaire de l’enseignement supérieur, le master valide 5 années d’études après le bac et est reconnu au niveau européen. Accessible après une licence, il s’effectue normalement en deux ans, l’accès à la première année étant un droit pour un diplômé de licence dans le même domaine que celui du master. Dans le cadre de la formation continue, l’accès peut se faire via la validation des acquis professionnels (VAP), sur étude de dossier. Certains établissements proposent également des masters en alternance, ce qui permet de suivre la formation tout en poursuivant une activité professionnelle grâce à des horaires adaptés. L’obtention du diplôme passe par des examens écrits et la soutenance du rapport de stage.
QUI LE DÉLIVRE ?
Délivré par les universités au nom de l’État, le master peut être aussi proposé par certaines écoles d’ingénieurs et de commerce. Pour obtenir le grade, ces dernières doivent être accréditées par la Commission d’évaluation des formations et des diplômes de gestion (CEFDG). Ces dernières années, de nombreuses écoles privées ont par ailleurs noué des partenariats de double diplôme avec des universités afin de faire bénéficier leurs étudiants du diplôme national de master.
POUR QUI ?
“Les formation s continues enm aster 2 ont un positionnement précis et répondent à des besoins spécifiques. Dans certains cas les personnes ont besoin d’ acquérir un diplôme en phase avec les fonctions qu’ elles occupent, dans d’ autres elles cherchent à élargir le champ de leurs compétences professionnelles. Nous avons aussi affaire àdesper sonne senre conversion ”, dé ta il le Évely ne Durel, respons able del’ information et de l’orientation pour la formation continue au Celsa. En parallèle de son offre de formation continue, l’école propose 7 masters professionnels accessibles en reprise d’études via le concours de l’école.
COMBIEN ÇA COÛTE ?
De 1 700 euros pour un master professionnel en reprise d’études au Celsa jusqu’à 10 000 euros dans une école de commerce. Des aides spécifiques (Cif, CPF...) peuvent, dans certains cas, permettre une prise en charge des frais pour les salariés.