“L’ACCOMPAGNEMENT PROFESSIONNEL M’A PERMIS DE CONFRONTER MON PROJET À LA RÉALITÉ”
La motivation d’ Alexandre Pelletier, alors directeur de l’ innovation chez Tata Communication, pour reprendre des études :“À 38 ans, j’ ai fait le constat qu’ il me restait 30 ans à travailler. J’ aspirais à évoluer professionnelle ment mais je me heurtais à un plafond de verre ”. À l’ époque, il envisage de monter son entreprise dans le secteur de la e-santé :“L’ accompagne ment professionnel qu’ offre le MBA m’aper mis de confronter mon projet à la réalité en montant un business plan et en réfléchissant sur des cas pratiques ”. Àl’ issue du MBA, il décide de ne pas poursuivre son projet entrepreneurial, mais est débauché par Microsoft quel quesm ois aprèsl’ obtention des on diplôme :“La fonction que j’ occupe aujourd’ hui correspond à mes attentes, je dirige des équipes plus importantes qu’ avant et travaille sur des technologies intéressantes. Le MBA m’a ouvert un nouveau champ des possibles ”. Pour autant, Alexandre pense que cette évolution professionnelle est due à un changement intérieur plus qu’au diplôme en tant que tel : “J’aigagné en confiance, en leadership et en ambition, ce qui m’ a aidé à sauter le pas lors qu’ on m’ a proposé ce travail ”. Des études qu’il a financé es seul, mais estime pourvoir rembourser en quelques années :“Ce que j’ en ai retiré n’ est rien par rapport à ce que j’ ai payé. Dans mon précédent poste, j’ ai obtenu des bonus grâce à une plus grande efficacité et en rentrant chez Microsoft j’ai augmenté mon salaire de 15%”. Enfin, Alexandre dit avoir construit des “liens forts” avec les gens des a promotion, mais est plus réservé sur l’ accès au réseau grande école :“Cela ne donne pas un accès automatique, simplement des opportunités. Il faut rester pertinent, les gens savent que ce n’ est pas la mêmes élection à l’ entrée ”.