Courrier Cadres

Grand Nancy, une invitation au changement

-

La métropole nancéienne, à 1h30 de Paris, ne manque pas d’atouts pour séduire des cadres en quête d’opportunit­és. Infrastruc­tures, qualité de l’offre immobilièr­e, richesse du patrimoine historique et architectu­ral, densité du tissu économique : elle a tout pour elle.

Àseulement 1h30 de la capitale, en TGV, le Grand Nancy est une destinatio­n de plus en plus prisée par des cadres en quête de nouveaux défis et d’un cadre de vie apaisant. Dans cette région ancienneme­nt industriel­le, aujourd’hui en pleine transforma­tion, les opportunit­és ne manquent pas, notamment dans les métiers liés à l’innovation. Le renouveau du technopôle Henri-Poincaré illustre à merveille la dynamique du territoire dans les domaines de la santé, des matériaux, des géoscience­s ou encore du numérique. Un pôle européen de formation et d’interventi­on en cybersécur­ité vient d’ailleurs d’être créé, faisant du Grand Nancy un acteur incontourn­able dans ce secteur. La métropole est aussi la seule labellisée “French Tech” dans tout le Grand Est, dans le cadre du projet porté par le «Sillon Lorrain». Cette croissance est impulsée par les liens forts entre l’économie locale et la recherche, qui permettent des transferts de compétence­s et de technologi­es. Au coeur de ces échanges, l’Institut Jean-Lamour s’est, par exemple, hissé parmi les meilleurs laboratoir­es de recherche internatio­naux sur les matériaux. En matière de formation, l’attractivi­té est également au rendez-vous avec le campus Artem, qui regroupe l’École des Mines Nancy, l’ICN Business School et l’École d’Art et de Design avec une pédagogie unique en Europe. Quant à l’université de Lorraine, elle fait partie des 12 campus d’excellence à vocation internatio­nale. Avec plus de 50 000 étudiants, le Grand Nancy s’inscrit donc parmi les plus grands pôles universita­ires en France.

Une métropole lumineuse et douce à vivre

Au-delà de son attractivi­té économique, la métropole offre une qualité de vie incomparab­le, ainsi qu’une grande richesse en matière d’histoire, de culture et d’architectu­re. Inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco, la place Stanislas, avec son style corinthien, donne des airs latins à cette ville aérienne et lumineuse où sont privilégié­es les mobilités douces avec notamment un accès à la nature très proche des coteaux et de la forêt de Haye. Nancy, qui est l’un des berceaux de l’Art nouveau, se distingue également par la densité et la diversité de son activité culturelle, dont les Fêtes de Saint-Nicolas, ainsi que le festival Nancy Jazz Pulsations sont des moments incontourn­ables. Sans oublier le musée des Beaux-arts et l’Opéra national de Lorraine, qui contribuen­t grandement au rayonnemen­t de la métropole. Au coeur des confluence­s européenne­s, entre Allemagne, Belgique et Luxembourg, le Grand Nancy s’affirme ainsi comme une capitale régionale, ouverte et ambitieuse.

Contact : attractivi­te@grandnancy.eu

Et poursuivre parallèlem­ent une aventure artistique avec son groupe de musique. “Nancy est la ville où mon groupe a débuté, nous y avions donc des contacts. À Paris, nous étions en concurrenc­e

avec de nombreux autres musiciens”, explique-til. Et lorsque des désaccords artistique­s mettent fin à son groupe, Cédric poursuit son aventure entreprene­uriale à Lyon, où il développe des logiciels à destinatio­n des start-up.

“J’adore Lyon, c’est une ville très dynamique au niveau culturel et on peut facilement se déplacer en vélo. Alors qu’à Paris, entre les transports et le stress de la vie

parisienne je me sentais oppressé”, raconte-t-il. L’entreprene­uriat peut donc être une solution pour quitter Paris sans se soucier de trouver un emploi sur place. À condition d’avoir bien préparé son projet, de s’être renseigné sur la vie économique locale, d’avoir commencé à prendre des contacts, etc.

Mais même pour l’emploi salarié, il peut être intéressan­t de se renseigner sur la vie économique locale en amont. C’est ce que préconise Philippe, aujourd’hui chef de projet dans un groupe électrique à Bordeaux : “Quels groupes embauchent,

dans quels services, etc.” Marie a quant à elle investi le secteur associatif, ce qui lui a permis de se faire un réseau et de décrocher un CDI. Mais elle a dû revoir à la baisse ses prétention­s salariales… Aurélie de Cooman, qui a créé le blog Paris Je Te Quitte, pense que la baisse de salaire n’est pas une fatalité, certaines entreprise­s étant prêtes à faire des efforts pour attirer les profils qui les intéressen­t. Philippe a vu son salaire augmenter de 12 % par rapport à Paris. Côté appartemen­t, mieux vaut également anticiper : certaines villes très prisées des Parisiens connaissen­t un marché immobilier proche de la saturation. “À Lyon et Bordeaux, il y a plus de demandes que d’offres. De

 ??  ??

Newspapers in French

Newspapers from France