OFFICER LA TRANSITION
Leadership et anglophone
Un Chief Brexit Officer se doit d’avoir les mêmes compétences que le directeur général d’une entreprise. Il est primordial qu’il ait une bonne connaissance du secteur de l’entreprise en question mais il doit également être parfaitement familier avec l’Angleterre. “L’idéal est d’avoir une expérience comme directeur général car c’est un poste où il faut avoir une bonne connaissance de chaque fonction de l’entreprise. Il doit avoir l’habitude de faire l’aller-retour entre les sujets opérationnels et stratégiques”, précise Thierry Fournier. Il doit se placer en tant que leader affirmé et être en mesure de mettre en mouvement une équipe.
Sur le terrain
Ce métier étant très récent et précis, il n’y a pas réellement de formation qui y prépare. Il est en quelque sorte la tour de contrôle sur le sujet Brexit. Il assure la cohérence des différentes mesures mises en place pour que ce soit en cohérence avec la stratégie de l’entreprise. Il est aussi le garant de la vitesse d’exécution. Un Chief Brexit Officer peut prétendre à un salaire équivalant à celui d’un directeur général d’une entreprise, qui équivaut environ à 150 000 euros par an, même si le montant diffère d’une structure à une autre.
Des incertitudes