COMMUNICATION DE CRISE
En 1997, Nike est accusée de faire fabriquer ses produits par des sous-traitants indonésiens et pakistanais qui emploient illégalement des enfants. La société est sévèrement éclaboussée par le scandale de ces “sweatshops” (ateliers clandestins). Mais elle réagit vite : elle établit un code de conduite pour ses fournisseurs, organise des audits réguliers, et met en place un programme de transparence. Ces efforts ont été reconnus par les militants des droits de l’homme. La marque fait désormais figure d’entreprise socialement responsable.