NOUVEAU SCANDALE
“Nous oeuvrons dans une perspective durable sur le plan économique, social et environnemental. Nous attendons de nos fournisseurs et autres partenaires commerciaux qu’ils adoptent cette même ligne de conduite”, explique le groupe suédois. Cependant, le contrôle total des bonnes conditions de travail dans les usines semble impossible. En effet, le nom de la marque suédoise revient rapidement sur le devant de la scène, mais pas pour les bonnes raisons. Elle est accusée de traiter avec un fournisseur chinois accusé de travail forcé de Ouïghours. Des étiquettes “ces produits ont été conçus par des esclaves ouïgours” ont été accrochées sur des vêtements dans des magasins H&M à Paris. L’enseigne est donc accusée de profiter du travail forcé des Ouighours, persécutés en Chine”, tweetait le compte Mediavenir en octobre. En septembre, H&M annonce rompre tous liens avec ces derniers et a été retiré de la liste de magasins accusés de collaborer.