“EN SE VOYANT UNE FOIS PAR SEMAINE, ON NE SE SENT PAS ISOLÉ”
“J’avais déjà l’habitude de pratiquer, occasionnellement, le télétravail. Avant la crise, un accord prévoyait de le fixer à un jour par semaine. Après le confinement, les locaux parisiens de Monster ont rouvert, mais ceux de Marseille sont restés fermés. Nous étions une quinzaine à y travailler, et nous étions très satisfaits du full remote : décision a été prise de le conserver. Pour maintenir le lien, les visioconférences ont été démultipliées. La seule chose qui me manque, ce sont les rencontres avec ceux qui n’étaient pas de mon service. C’est pourquoi nous nous retrouvons chaque jeudi au restaurant. Comme pendant le confinement, mon manager prend régulièrement des nouvelles de chacun d’entre nous. Une pratique qui est restée. Finalement, les journées sans parler à personne sont rares. Les relations sont juste devenues digitales.”